mardi 9 octobre 2012

Toor Book Therion - jours 7 à 9

JOUR 7.
Madrid. La salle n'est pas énorme. On partage un peu de la tension de nos partenaires d'Antalgia qui jouent, à leur tour, à domicile. La sensible et très talentueuse Bella, chanteuse d'Antalgia, appréhende un peu l'événement face à un public qu'elle sait particulièrement exigeant. Ce d'autant que Madrid est plus électro que métalleuse. Et ce soir, Bella cassera la barraque : le groupe est chaudement applaudi dès le premier morceau, libérant d'un coup les angoisses de notre camarade espagnole. Un bon moment par procuration... Puis, Elyose : le mythe des espagnols à sang chaud n'en n'est pas un : dès le permier morceau, comme pour Antalgia, ils seront « à fond dedans », réceptifs à notre musique et répondant du tac au tac aux invites de Justine. Un autre très bon moment que celui-ci. La contagion aidant, Antalgia et Elyose assisteront (très activement...) pratiquement à l'intégralité du show Thérion, depuis le haut des gradins (zone réservée), en se faisant visiblement remarquer depuis la scène, sans doute à la grande satisfaction de Therion. Justine n'a jusqu'à présent raté aucune des 6 premières dates. 

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JOUR 8.
Barcelone. Belle et vaste scène (on en attaque une série de sympas...). Mais avec un défaut : un max de résonnance des fréquences basses émises et reçues depuis la salle. En résumé, on va un peu jouer sur un volcan en activité... Grosse ambiance espagnole une fois de plus, très mâle, ce que Juss ne manquera pas de souligner pendant le concert.

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JOUR 9.

Bilbao. Dès l'arrivée, le sacro-saint brunch du matin (13H00...) avec les membres de Therion (Lori, Linnéa, Christian et Stefan). Depuis notre premier jour c'est un peu l'orgie de nourriture ; le mythe du musicien mal nourri en est vraiment un, au moins dans le confortable contexte d'une tournée. Et le serveur du matin, modeste, nous a prévenus que ce soir, ce serait « autre chose... ». Avec le recul, Justine se sent légèrement ridicule d'avoir rempli tous les placards du tourbus de provisions. Certains d'entre nous n'ont jamais autant mangé. Sinon, salle de 1800 personnes et scène de fou furieux (13mx8m). Un bon entrainement sur un « grand » stade avant le retour au pays pour Toulouse et Lyon, deux échéances importantes (aussi...) de notre agenda national. 

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